
Il devient alors nécessaire de se spécialiser dans le traitement de l’information, un travail à temps plein, rien que pour écarter les bruits parasites (fausse information, rumeur, etc.) de l’information recherchée. L’exemple le plus simple nous le rencontrons tout les jours lorsque que l’on procède à une recherche sur Internet (via google par exemple : recherche « Bagdad juillet 2005 », 145.000 résultats), le volume d’information à traité est tellement important qu’il est impossible d’effectuer une analyse systématique de tout l’information disponible. Dès lors nous procédons à des sélections subjectives dans les sources. Ainsi malgré l’omniprésence de sources alternative, les premiers sites que nous consulterons seront les sites des agences de presse reconnues et les sites des journaux conventionnels. Il est intéressant de remarquer, que même lorsque que l’on n’a pas confiance dans les médias traditionnels c’est tout même vers ceux-ci que l’on se tourne en premier pour savoir ce qui fait « information ».